APRÈS VINGT-DEUX ANS

RETOUR DU FESTIVAL DE BAALBECK AVEC L’ABSENCE REMARQUÉE DE FEYROUZ



Après vingt-deux ans, le Festival International de Baalbeck investit à nouveau la Cité du Soleil, bat le rappel de ses troupes et de son immense chaîne d’amis à travers le monde. A l’honneur, le temple de Jupiter accueille les 24-25-26 juillet (le 23, soirée spéciale destinée aux habitants de la région) l’un des fils de Baalbeck, Abdel-Halim Caracalla, au talent confirmé à travers le monde et qui y présente “l’Andalousie, la gloire perdue”. Le 30 juillet, pour une soirée unique, l’un des plus grands violoncellistes du monde, Mstislav Rostropovitch, accompagné de l’Orchestre philharmonique de Radio France dirigé par Marek Janowski. L’absence de Feyrouz qui avait porté à leur apogée les “nuits” de la Citadelle et sur la-quelle avait rejailli la gloire même de Baalbeck, est res-sentie comme une promesse manquée. Peut-être un ren-dez-vous qui ne recule que les échéances, lié aux lendemains du Fes-tival, désormais inscrits dans la course des saisons à venir.


Home
Home