La prude Albion est sous le choc du “Sunday Mirror” qui publiait, tout récemment encore, une série de photos montrant la princesse aux yeux tristes Diana embrassant sur un yacht au large de la Sardaigne le millionnaire Dodi el-Fayed... Des clichés qui ont coûté au journal la modique somme de 600.000 dollars. Il existe des paparazzi heureux, l’auteur de ces clichés, dit-on, est un Italien qui aura en somme réussi le coup du siècle! Car l’Angleterre a toujours raffolé des histoires de princes et de princesses, d’histoires d’amour pas toujours possibles, de scandales et d’une littérature digne de la plume de Barbara Cartland. Nous nageons en plein roman de gare avec l’affaire Diana-Dodi, une histoire qui n’est pas sans rappeler aux Anglais celle de Jackie Kennedy-Onassis, se baignant en mer Egée. Cela fait déjà un an que lady Di est séparée du prince Charles. Depuis, la jolie Diana, entre deux voyages caritatifs dont le dernier à Sarajevo, a changé de mode de vie, de look. Tout le monde a remarqué sa mine radieuse... Mais on était loin de se douter que la princesse vivait une belle histoire d’amour. Le cœur de la princesse bat pour le fils du millionnaire Mohamed el-Fayed, propriétaire des grands magasins Harrod’s de Londres. Une ancienne conquête de Dodi a révélé en exclusivité à la presse des détails intimes concernant le play- boy internationalement connu pour ses frasques amoureuses. Citant le rédacteur en chef d’un magazine destiné à la communauté musulmane britannique, “The independant” parle des “émotions conflictuelles” avec lesquelles celle-ci perçoit la fascination de Diana avec des hommes musulmans et de citer son idylle avec un cardiologue pakistanais... Et le rédacteur en chef d’ajouter: “Si Dodi se conduit mal avec elle, toute la communauté en pâtira...” Les critiques peuvent bien fuser de partout... Mais c’est l’été et au soleil on parle d’amour... La princesse de Galles est allongée, elle sourit... Dodi la regarde intensément... Leurs mains se caressent... Elle niche sa tête sur sa poitrine musclée. Seul témoin ou presque, si on oublie le paparazzi fouineur... La mer toujours recommencée qui berce les mots d’amour qui sont les mêmes pour tout le monde.