PANDY-AGNÈS... LE DUO INFERNAL 
LA FILLE DU PASTEUR HONGROIS AVOUE SA COMPLICITÉ 
DANS L'ASSASSINAT DES MEMBRES DE SA FAMILLE...

Agnès Pandy a, finalement, avoué son abominable forfait... Interpellée par la police judiciaire bruxelloise, la fille du pasteur a craqué... Le pasteur Pandy ne pouvait espérer meilleure complice.


Le duo infernal: le pasteur Pandy et sa principale complice, sa fille Agnès.

Qui pouvait vraiment imaginer que Pandy a tué, découpé et fait disparaître le corps de ses victimes, six personnes de sa famille avec la participation de sa propre fille?
Les propos d’Agnès ont été confrontés à ceux de son septuagénaire de père qui, rappelons-le, nie toute implication dans ces crimes scabreux...
Les policiers chargés de l’enquête n’imaginaient, certainement pas cette confession.
N’est-ce pas Agnès qui s’était déplacée elle-même au siège de la police judiciaire pour signaler la disparition de sa mère et de ses quatre sœurs?
Qui pouvait croire que cette jeune femme fluette et timide qui s’était posée jusque-là en victime de son père, affirmant lors d’un interrogatoire de routine, sa participation à la tuerie familiale, allait donner des détails sordides concernant le meurtre de sa propre mère.
Agnès âgée de 39 ans est décrite comme une jeune femme psychologiquement fragile, dominée par son père, que la police décrit comme un homme obsédé sexuel, qui représente le portrait type du psychopathe, du tueur en série.
Il y a de cela quelques mois déjà, la police s’intéressait aux douteuses activités du pasteur Pandy et découvrait avec horreur dans l’une des trois propriétés bruxelloises de ce dernier lors des fouilles intensives, des ossements, des dents, des lambeaux de chair entreposés dans un réfrigérateur, des taches de sang dans l’escalier...
Non loin de là, les investigateurs trouvaient une urne contenant des cendres.
Dans la troisième résidence qui aurait servi de siège à l’Ydnap (Pandy à l’envers), une association culturelle présidée par le pasteur, des cavités suspectes, l’épaisseur de certains murs renforçaient les soupçons du juge d’instruction...
Néanmoins, il semblait qu’il était peu probable que les ossements trouvés dans ces lieux appartenaient à ceux de la famille du pasteur...


Pandy... Un homme machiavélique et très fort psychologiquement d’après les enquêteurs.
 

UN LANDRU DOUBLÉ DE RASPOUTINE...
Le magistrat chargé de cette affaire a inculpé la fille du pasteur pour “assassinat ou tentative d’assassinat en tant qu’auteur ou co-auteur” et Agnès a été incarcérée dans la prison de Forest, à Bruxelles.
Lors d’interrogatoires, la jeune femme aurait avancé un autre chiffre concernant les meurtres collectifs... Le nombre des victimes s’élèverait jusqu’à dix, dont les six membres de sa famille...
Cet aveu n’a pas surpris les enquêteurs qui avaient inculpé Pandy pour le meurtre “au moins” de six personnes et ont dirigé leur enquête en Hongrie où Pandy avait l’habitude de passer régulièrement dans la presse, des annonces matrimoniales.
Actuellement, la police hongroise cherche à établir une liste concernant des personnes portées disparues dans le pays de 1986 à 1989.
On s’active à connaître les lieux où ont été enterrés les cadavres. Les recherches ont déjà permis de découvrir à Bruxelles les ossements de trois personnes enterrées dans une cave.
Les corps avaient été terriblement mutilés à la hache pour être ensuite cachés sous une dalle en béton.
Mais reste cette petite phrase de Agnès Pandy: “De toute façon vous ne trouverez jamais les corps des membres de ma famille...”
Certaines sources affirment que le pasteur, une fois sa terrible besogne accomplie, aurait envoyé les cadavres découpés à une usine de farine animale, à Denderleew...
Pour sa part, le quotidien “Le Soir” de Bruxelles parle de corps fondus dans de l’acide...
La personnalité du pasteur laisse les enquêteurs pour le moins songeurs. Cet homme au physique ingrat, ordinaire, serait donc une sorte de Landru doublé de Raspoutine...
Des graphologues hongrois, ont révélé que “l’écriture de Pandy cachait une personnalité qui aimerait créer autour d’elle l’ordre et l’harmonie... Il serait prêt, affirment-ils, à tout pour qu’on ne dise pas du mal de lui”.
Autre détail aberrant: la relation incestueuse avec sa fille Andréa de laquelle il aurait eu un fils prénommé Marc...
Andras Pandy a donné sur ce fait des explications qui ont laissé les enquêteurs abasourdis...
Pandy, 70 ans, continue toujours à nier les faits...
Le suspect est décrit comme un homme “machiavélique, autoritaire et très fort psychologiquement...”
Le parquet de Bruxelles envisage une confrontation entre le père et la fille afin de le faire enfin fléchir.
Agnès totalement subjuguée par le charisme de son père, aurait été jalouse des autres femmes de la maison, ses propres sœurs avec lesquelles le pasteur se livrait à des incestes répétés...
La jalousie aurait donc poussé Agnès à commettre les pires atrocités...
Affaire à suivre...!


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