QUE SERAIT JAMES BOND SANS LES JOLIES FILLES QUI LUI ONT DONNÉ LA RÉPLIQUE?

QUE SERAIT JAMES BOND SANS
LES JOLIES FILLES QUI LUI ONT DONNÉ LA RÉPLIQUE?

Ian Fleming, le romancier britannique aux cent cigarettes par jour - ce qui lui a valu de mourir prématurément à 56 ans - et créateur du personnage de l’agent secret 007, ignorait que celui-ci entrerait dans la légende et qu’il consommerait à son tour tant de jolies femmes, qui contribueraient à sa légende plus que lui-même, un banal héros de second ordre, mettant facilement les filles dans son lit et s’amusant à jouer avec des gadgets meurtriers.

1983: Barbara Carrera dans “Jamais, plus jamais”.

1995: “Goldeneye” avec Framke Janssen.

Femmes-objets au début, elles se sont progressivement affirmées, mysté-rieuses, troublantes, complices, sachant manier les armes à l’instar de leur charmes, tour à tour séductrices, méchantes, traîtresses, maîtresses... Celles qui jouaient aux mauvaises sachant voler la vedette aux héroïnes.

1985: Grace Jones dans “Dangereusement vôtre”.

1962: Dans “Docteur No”: Ursula Andress,
traverse l’écran comme une comète.

La liste en est longue et elles ont connu des fortunes diverses. Certaines n’ont été que des sex-symbols, telle Ursula Andress. D’autres se sont frayé des carrières brillantes: Kim Basinger et Carole Bouquet. Alors que certaines, comme Grace Jones, dont la notoriété était acquise, se sont offert le plaisir de donner la réplique au plus séducteur qui fût des agents secrets.

1997: “Tomorrow never dies” avec Terri Hatcher.

1965: Claudine Auger dans “Opération Tonnerre”.

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