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I - ALGÉRIE: OUVERTURE
TIMIDE... ET MISSION HONORABLE
II - LE MENSONGE DE L’ÉVOLUTION JUIVE... ET LE SOUS-DÉVELOPPEMENT DE BNAY BARAK Décrivant les criminels, les rescapés ont dit qu’ils ressemblaient par leurs tenues aux miliciens afghans et avaient tué quatre-cents citoyens innocents. Ceci a poussé les Etats-Unis à proclamer que la situation là-bas était perturbée et confuse. Aussi, ont-ils demandé l’envoi de missions exploratoires en Algérie, pour jeter toute la lumière sur tout ce qui se passe dans ce pays, ce qui est apparu au grand jour et ce qui reste dans l’ombre. Quant à l’Union européenne ou les quinze leaders formant le sommet, elle a défini la mission de la troïka ayant décidé de visiter l’Algérie, en dépit du refus opposé à son initiative par le gouvernement d’Alger. L’action de cette troïka comporte certainement des risques, car elle est dénoncée, à l’avance par “Amnesty International” et “Human Rights Watch”, “parce qu’elle produit le même effet que celui de jeter de la poudre aux yeux.” Si l’initiative avait pour but d’appuyer le président Liamine Zéroual dans sa position ferme réfractaire à tout dialogue et de n’engager aucune discussion avec les autorités algériennes à propos des procédés utilisés par ces dernières pour combattre le terrorisme, les Européens se dérangeraient pour rien. La diplomatie des “Quinze” repose sur le dialogue, comme ils l’ont fait avec l’Iran. Puis, le principe des négociations avec l’Algérie paraît acceptable, comme le prouvent les résultats de la visite effectuée, en décembre dernier, à Bruxelles et au Luxembourg par Ahmed Attaf, ministre algérien des Affaires étrangères. De là, la mission des diplomates autrichien, britannique et luxembourgeois (la troïka euro-péenne) consiste à convaincre leurs interlo-cuteurs algériens qu’ils veulent, uniquement, sortir leur pays du cycle de la violence et enlever de leur esprit tout ce qui serait préjudiciable à ses intérêts. C’est la première initiative pratique entreprise par l’Union européenne depuis le début du conflit algérien en 1992 et la première ouverture - quelle qu’en soit la portée - manifestée par Alger. Tous les gens implorent Dieu pour que nul ne compromette la tentative européenne. La télévision - qui suscite des problèmes au Liban - y est interdite. Les habitants en sont reposés, parce qu’ils la considèrent comme “le repaire du mal, du préjudice et de la corruption”, comme ils le disent. Les habitants de cette localité n’y voient pas l’aspect positif ouvert sur les courants de la rénovation. Moshe Gavani, député radical, élu sur la “liste du sionisme unifié de la Bible”, appelle à la for-mation de milices armées de juifs fondamen-talistes, pour faire face à la guerre civile menée par les laïcs contre les hommes de religion en Israël. Etant entendu que les “porteurs de tuniques noires” marchent dans un sens visant à créer une alliance complète avec l’Etat. Ceci a été révélé et confirmé par une étude effectuée la semaine dernière sous la supervision du centre principal des statistiques et diffusée par les moyens d’information. Les habitants de ce village œuvrent à l’effet de retenir par cœur les “textes sacrés”, considérant que ceci les aidera à s’éloigner de l’immoralité et de la dissolution des mœurs qui caractérisent l’armée israélienne, laquelle aspire à l’hégé-monie. Ils préfèrent continuer à vivre en tant qu’écoliers ou qu’universitaires et ne pas devenir des citoyens soumis à l’influence d’un groupe de corrupteurs que sont les militaires. En dépit de tous les efforts déployés, y compris ceux du maire de la ville, Mordehai Carlitz, tout cela reste incapable de sortir les 150.000 habitants de la cité de leur fanatisme aveugle, d’appro-fondir leur lien avec l’Etat hébreu, au point de devenir des otages auprès de cet Etat et pour affirmer au monde le mensonge de l’évolution juive qui n’en porte que le nom... pollué, frelaté et louche. |
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