LES COLLECTIONS PRINTEMPS-ÉTÉ 1998
QUAND LE XVIIIème SIÈCLE VA À LA RENCONTRE DU XXIème...
Le bleu-encre, couleur fétiche d’Ungaro.
La collection d’Emanuel Ungaro présentait une originalité très certaine avec ce mélange curieux de tenues inspirées du XVIIIème siècle et du look futuriste du XXIème siècle.
 
 
Ungaro au seuil du IIIème millénaire.
 
 
Redingote inspirée du XVIIIe siècle.
 
 
La robe du soir... Un must pour tous les couturiers.
 
 
L’heureux mariage de deux époques.
 
Si quelqu’un tient énormément à son image, c’est bien Ungaro.
Face au minimalisme qui gagne à chaque saison un peu plus de terrain, le styliste cultive tous les paroxysmes et donne en spectacle un défilé où la richesse réside dans le mariage des couleurs, l’opulence avec les matériaux employés, la générosité avec ce mélange de luxe et de discrétion.
 
 
 
Une transparence très étudiée. 
 
 
Du brocart sur pantalon marron glacé de satin.
 
 
Un ensemble, aux broderies somptueuses. 
 
 
De fines bretelles pour   robe arachnéenne.
 
Ce qu’a voulu Ungaro c’est “prendre” au XVIIIème siècle les redingotes de brocart, les satins, les imprimés à fleurs...
Du XXIème siècle, il imagine des robes sans bretelles taillées dans des coloris de bleu-noir, les corsets en métal et ces autres tenues à impression florale qui cachent bien peu de choses.
Résultat: une collection où la sensualité est toujours à fleur de peau, où le chatoiement précieux des tissus accrochant une belle lumière auréolent la femme d’un halo particulier.
Une femme pour qui l’argent n’a pas de valeur...!
Impression léopard pour cette tunique à bottes assorties.

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