NOUVELLES ET ETRANGES REVELATIONS
SUR LE MORTEL ACCIDENT DE LA PRINCESSE DIANA
LaSelon les
conclusions du juge Stephan, à Paris, c’est une fatale erreur due
à son chauffeur Henri-Paul, qui aurait coûté la vie
à la princesse Diana et à son compagnon, la nuit du 31 août
1997 où leur voiture, engouffrée sous le pont de l’Alma,
a heurté de plein fouet les piliers du pont, tuant sur le coup ses
trois passagers.
Henri-Paul, le chauffeur de Lady Di.
Le rapport Michel Nibodeau, spécialiste en la matière, établit
pour sa part qu’Henri-Paul, oubliant qu’il conduisait une Mercédès
automatique, a essayé de ralentir à l’entrée du tunnel,
changeant de vitesse comme pour une voiture ordinaire! Aussi, sa manœuvre
eut-elle pour résultat l’effet contraire, provoquant ainsi l’embardée
fatale de la lourde limousine. Des témoins oculaires interrogés
du reste, auraient entendu le grondement du moteur d’une voiture à
l’entrée du tun-nel et qui aurait pu être le con-trecoup d’un
levier mal manœuvré d’une voiture automatique. Selon le même
rap-port, le chauf-feur n’avait pas les qualifi-cations néces-saires
pour con-duire une voiture de ce type. Il considère, en outre, dénuée
de fondement, l’éventualité d’une collision avec une mystérieuse
Fiat Uno blanche. D’autres causes, dont le rapport Nibodeau fait état,
seraient aussi accessoirement attribuables à l’accident dont les
courbes aiguës de la route.
Le même rapport laisse supposer que les charges de cet homicide
involontaire pèsent, surtout, sur la direction de l’Hôtel
Ritz, ainsi que sur les agents qui ont fourni la limousine en location.
D’ailleurs, M. Trevor Rees-Jones, le seul survivant de l’accident, a introduit
une action en justice à l’encontre de la direction de l’Hôtel
Ritz.
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