Chez Ungaro, le défilé se tenait à l’Elysée-Montmartre,
transformée à cette occasion, en jardin d’Ispahan. Une collection
toute fleurie pour le styliste qui s’était inspiré visiblement
de son enfance passée à Aix-en-Provence ou aux Saintes Marie-de-la-Mer
où les gitanes font miroiter peuves tenues bariolées...
Et c’est pourquoi les vestons à papa sont portés cette
saison sur des robes imprimées. Mais chez Ungaro les belles s’habillent
aussi de dentelles, de cardigans toujours rebrodés, s’arrêtant
à taille de guêpe, baguée de satin. Les jupes
à volants en pétales superposés sont balayées
par un simple coup de vent... Rien de tel pour donner belle allure à
l’ensemble. Sur le podium, les mannequins ressemblaient à de vraies
divas, habillées de fourreaux aux couleurs magiques rappelant les
couchers de soleil sur le Gange...
![]() Du plus pur Ungaro...
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![]() Une mariée de rêve...
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![]() Belle comme une star en robe fourreau pailletée.
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![]() Taille basse coupée en diagonale et jupe volantée. |
![]() Comme une danseuse de flamenco... |
![]() Un jeu de drapé couleur flamme. |
![]() Châle frangé à porter sur cette robe arachnéenne. |
![]() Une tenue super élégante. A noter les broderies au bas des manches et de la jupe. |