QUAND L’AMÉRIQUE CHERCHE À VENDRE DU RÊVE
La haute couture vend certes du rêve, mais sert surtout au départ à habiller les femmes.

Le nombre de clientes est infinitésimal, puisqu’on estime à quelque 2000 les personnes pouvant se payer ce luxe. Inaccessible, la haute couture peut encore permettre de créer et d’imposer des marques autour d’un univers diversifié entre accessoires, parfums ou prêt-à-porter. L’Amérique veut, après Milan et Paris, faire concurrence dans ce domaine et New York vit, elle-aussi, au rythme de quatre rendez-vous annuels des défilés avec des créateurs qui concurrencent les plus grandes griffes. Ainsi, Vivienne Westwood, la grande prêtresse de la mode new-yorkaise, a offert un défilé surprenant avec des mannequins dont le visage était peint de rouge, de pourpre ou de bleu... Des tenues d’inspiration Navajo pour la plupart avec des imprimés traditionnels. Les robes du soir resserrées à la taille, s’épanouissent en corolles sur les hanches, s’arrêtent sur le haut des genoux pour laisser apercevoir des pantalons coupe cigarette aux dessins étonnants.
Du plus pur Westwood! On aime ou on n’aime pas.
Au défilé: cet autre couturier, Marc Jacobs qui se taille une belle place sous les feux des spots et offre une collection douce et très portable. Jacobs qui est, aussi, le chef designer de la maison Louis Vuitton à Paris, avait réussi à attirer dans ses salons nombre de vedettes parmi lesquelles Sylvie Vartan, Olivier Picasso...
 
 

Vivienne Westwood réussira 
toujours à surprendre son monde..

 
 
 

 Le sportswear est à l’honneur.

Du plus pur Westwood..

Robe moulante à porter 
sur des bottes rouges..

Olivier Picasso avec sa fiancée.
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Sylvie Vartan était, également, présente.

Marc Jacobs, des tenues faciles à porter.

Les Navajo ont inspiré Vivienne Westwood.


Robe de velours très stricte pour Marc Jacobs.


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