Soucieuse d’assurer une couverture parfaite des nouvelles du Maghreb arabe, avec autant de régularité et d’objectivité qu’elle le fait pour le Machrek, “La Revue du Liban et de l’Orient Arabe”, consacrera désormais chaque semaine, quatre pages illustrées aux cinq Etats membres de l’Union du Maghreb: la Tunisie, le Maroc, l’Algérie, la Libye et la Mauritanie. Toutes suggestions concernant ces pages seront les bienvenues et nous nous engageons à leur accorder l’intérêt qu’elles méritent.

TUNISIE

PROCHAINES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES ET LÉGISLATIVES EN TUNISIE:
Forte La Tunisie s’apprête à vivre un événement politique majeur. Pour la première fois dans l’Histoire du pays, une élection présidentielle plurielle se déroulera le 24 octobre prochain, couronnement du processus de réformes résolument engagé par le président Zein El-Abidine Ben Ali et irréversiblement orienté vers le renforcement des fondements de la démocratie en Tunisie.
C’est, en effet, à l’initiative du président Ben Ali qu’un amendement a été récemment introduit dans le texte de la Constitution tunisienne - et adopté par le parlement en première lecture - qui assouplit les conditions d’éligibilité à la présidence de la République lors du prochain suffrage.
Déjà, deux candidats sont officiellement en lice: l’actuel chef de l’Etat, M. Zein El-Abidine Ben Ali, candidat du parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) et le secrétaire général du Parti de l’unité populaire (PUP/opposition), M. Mohamed Belhaj Amor. On s’attend à ce qu’un troisième candidat brigue la magistrature suprême. Il s’agit de M. Abderrahmane Tlili, secrétaire général de l’Union démocratique unioniste (UDU), qui répond aux critères définis par la Constitution telle qu’amendée récemment. Son parti doit se prononcer sur cette question lors de la réunion de sa plus haute instance en juillet prochain.

UN NOUVEAU JALON SUR LA
VOIE DE LA DÉMOCRATIE

Loin d’être un acte isolé, cet amendement se situe, en fait, dans le droit fil d’une démarche éminemment démocratique initiée par le président Ben Ali dès son accession à la magistrature suprême le 7 novembre 1987. Un premier amendement était, alors, apporté à la Constitution en 1988 qui supprimait la présidence à vie et la succession automatique, dans le sens de la réaffirmation de la souveraineté populaire. Suivaient, la même année, la promulgation d’une loi définissant le régime juridique des partis politiques; puis, la signature du Pacte national qui a réuni l’ensemble des partis et les diverses sensibilités politiques et civiles autour des valeurs de nationalisme, d’authenticité, d’ouverture et de tolérance. De 1988 à 1993, le Code électoral était à son tour amendé à trois reprises, ce qui a permis de concrétiser le pluralisme au sein de la Chambre des députés, à travers l’élection de candidats de l’opposition en 1994. En juillet 1997, une loi était promulguée relative au financement public des partis, dans le but de consolider leurs ressources et de garantir l’accomplissement de leur rôle politique. Quelques mois après, certains articles de la Constitution étaient amendés consacrant la constitutionnalité des partis politiques et élargissant, par ailleurs, le champ du référendum dans le but de conforter l’exercice direct de la souveraineté populaire s’agissant de questions vitales qui déterminent l’avenir du pays. A la faveur de cet amendement, l’âge de l’éligibilité à la Chambre des députés a été, en outre, abaissé à 23 ans.


Le président Ben Ali s’adressant aux gouverneurs:
veiller à la neutralité de l’administration.

Une série de mesures étaient, également, prises ayant pour objectif de renforcer le processus démocratique et le pluralisme. C’est ainsi que le mode du scrutin a été révisé de manière à ce que “l’opposition puisse disposer d’environ 20% au moins du nombre total des sièges de la Chambre des députés”. De même, en est-il pour les conseils municipaux.
En même temps que l’élection présidentielle, le 24 octobre prochain, auront lieu, également, les élections législatives pour le renouvellement des sièges de la Chambre des députés.
En prévision de cette importante échéance, le président Ben Ali a lancé un appel aux gouverneurs qui tenaient leur conférence périodique, afin de veiller à la transparence absolue de ces élections et à la neutralité de l’administration.
“Notre pays sera, dans les tous prochains mois, au rendez-vous des élections présidentielles et législatives que nous considérons comme un nouveau jalon sur la voie de la consécration de la démocratie et du pluralisme (..), après tout ce qui a été réalisé dans ce domaine, au cours des années écoulées”, a déclaré le chef de l’Etat tunisien à l’adresse des gouverneurs, leur recommandant “d’appliquer rigoureusement les dispositions du Code électoral, afin que ces élections se déroulent dans la transparence absolue et la neutralité totale de l’administration”.Ces élections seront, aussi, “un nouveau pont que nous jetterons en direction du siècle nouveau, en consolidant les valeurs républicaines, en élargissant, au profit de tous, les aires de participation à la vie publique et en ouvrant la voie à toutes les forces vives de la société, pour qu’elles contribuent à l’édification de l’avenir (...)”.

 BOUAZZA BEN BOUAZZA
 

ALGÉRIE

CONGRÈS MÉDICAL À ALGER

Les travaux du 28ème congrès médical maghrébin se sont déroulés à Alger au niveau des experts.
Le thème principal de cette rencontre s’est articulé autour de la formation continue en milieu médical et avait pour objectif la mise à niveau des connaissances, des personnels médicaux et paramédicaux à la faveur de session de recyclage dans le but de valoriser leurs carrières en leur ouvrant de nouvelles perspectives.
Le programme de cette manifestation médicale comportait des ateliers devant permettre aux participants de débattre de la gestion hospitalière, de la réadaptation fonctionnelle, de la chirurgie sur des malades âgés et de l’hépatite virale. Des communications portant sur plusieurs pathologies, ainsi que sur la chirurgie étaient également à l’ordre du jour.



TUNISIE

DÉCÈS DE L’ÉPOUSE DE L’ANCIEN PRÉSIDENT HABIB BOURGUIBA

L’épouse de l’ancien président tunisien, Mme Wassila Bourguiba, est décédée à son domicile à La Marsa, proche banlieue de Tunis, des suites d’une longue maladie.
Agée de 88 ans, l’ancienne Première dame de Tunisie souffrait depuis longtemps de diabète. Son état de santé s’est aggravé ces dernières années, en raison de complications cardiaques et d’une hypertension, de sorte que, durant les mois qui ont précédé sa mort, elle était astreinte à se déplacer en chaise roulante, selon des sources proches de sa famille.
L’ex-président Habib Bourguiba ne dissimulait pas qu’elle était “l’amour de sa vie”. Il vouait à cette femme issue d’une famille bourgeoise de Tunis une passion telle qu’il n’hésita pas à la faire divorcer de son premier mari pour l’épouser en 1962, cinq ans environ après son accession à la magistrature suprême de son pays. Lui-même avait dû se séparer de sa première épouse d’origine française, Mathilde Bourguiba - qui se convertit par la suite à l’Islam et prit le nom de Moufida - qu’il avait connue lorsqu’il était étudiant à Paris. Cette première union avait donné naissance à un fils Habib Bourguiba Jr, qui occupa plusieurs fonctions ministérielles pendant que son père était au pouvoir.
Forte du “faible” que l’ancien président avait pour elle, Wassila Bourguiba, née Ben Ammar, avait exercé, plus de vingt ans durant, une grande influence sur la vie politique tunisienne, notamment dans la nomination des hauts responsables. Ses interventions devaient être à l’origine de frictions assez fréquentes avec Bourguiba, connu pour être autoritaire, ce qui finit par conduire à la rupture entre ce “couple terrible” de la Tunisie d’après l’indépendance (1956); il divorça en 1985, quelques années avant la destitution, le 7 novembre 1987,  de celui qui fut le premier président de la République tunisienne. Agé de 96 ans, celui-ci vit actuellement à Monastir, sa ville natale (160km au sud de Tunis).



 
LIBYE
KADHAFI AU SOUDAN ET SON ÉPOUSE AU TCHAD
L’épouse du chef de la Révolution libyenne, Safia Kadhafi, a effectué, récemment, une visite au Tchad. A son arrivée à N’djamena, elle a déclaré, selon l’agence Reuters, qu’elle était venue remercier les Tchadiens de la solidarité que leur pays a manifestée à l’endroit de la Libye durant la période difficile qu’elle a traversée du fait des sanctions imposées à Tripoli par l’ONU dans l’affaire de Lockerbie.
C’est la première activité officielle du genre effectuée à l’étranger par l’épouse du numéro un libyen qui apparaît rarement aux côtés du colonel Kadhafi lors de ses voyages, relève-t-on. 
Cette visite intervient alors que le dirigeant libyen était en visite au Soudan, venant d’Afrique du Sud.
Dans une intervention à Khartoum, le colonel Kadhafi a appelé les Soudanais à faire taire les armes dans la guerre fratricide qui les oppose dans le conflit du sud-Soudan. 



 
TUNISIE - MAURITANIE

PROGRAMME  DE COOPÉRATION DANS LE SECTEUR DE LA PÊCHE
La Tunisie et la Mauritanie ont signé le 21 juin, un programme de coopération technique et scientifique dans le secteur de la pêche pour la période 1999-2001.
Le programme porte sur quatre domaines, à savoir: la recherche scientifique, l’apprentissage et la formation, le partenariat et la coopération technique. Il prévoit, également, la création de sociétés mixtes axées sur la transformation, l’industrialisation et l’exportation des produits de la mer, l’organisation de journées de développement et de partenariat dans le domaine de la pêche en Mauritanie, la participation d’hommes d’affaires mauritaniens au salon international de la pêche à Tunis et l’échange d’experts entre les deux pays.
Le document a été signé par le ministre tunisien de l’Agriculture, M. Sadok Rabah et le ministre mauritanien de la Pêche et de l’Economie maritime, M. Mokhtar Ould Zamel, qui vient d’effectuer une visite de plusieurs jours en Tunisie.
Les deux parties ont également signé, au cours de la même cérémonie, un accord relatif à l’organisation de la commission technique mixte pour le secteur de la pêche, une structure permanente groupant des représentants du secteur privé et de l’administration des deux pays.
 

TUNISIE

ACQUISITION D’UN NOUVEAU CAR-FERRY

La compagnie tunisienne de navigation “CTN” vient de se doter d’un nouveau car-ferry baptisé “Carthage”, destiné à répondre aux besoins croissants du transport maritime notamment en période estivale, lors du flux massif des Tunisiens résidant à l’étranger. Inauguré récemment par le président tunisien Zein El-Abidine Ben Ali, cet imposant bâtiment de 180 mètres de long, d’une capacité d’accueil de 2.208 passagers et de 666 véhicules, est équipé des instruments les plus modernes de navigation. Construit dans les chantiers navals de Norvège, il est dirigé par un équipage de 156 membres tous tunisiens.
 
 

Le président Ben Ali 
inaugure le car-ferry "Carthage".

Vue du paquebot “Carthage”.

“Nous avons voulu que ce paquebot soit un nouveau pont permettant aux fils et aux filles de la Tunisie à l’étranger de raffermir leurs liens avec la patrie tout au long de l’année, leur offrant ainsi les meilleures conditions de voyage”, a écrit en substance le chef de l’Etat tunisien en annotant le livre de bord du navire.



 
TUNISIE - MAROC

CONCERTATIONS SUR LA MISE EN PLACE DE LA ZONE DE LIBRE-ÉCHANGE

Le ministre tunisien de l’Industrie, M. Mounsef Ben Abdallah, s’est rendu au Maroc pour une visite de travail de plusieurs jours. Au cours de son séjour, il s’est entretenu, avec plusieurs membres du gouvernement marocain dont son homologue, M. Alami Tazi, ministre du commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, des moyens de développer et de promouvoir la coopération entre les deux pays, en particulier dans le domaine de l’industrie.
Dans une déclaration à la télévision marocaine, M. Ben Abdallah a indiqué que sa visite intervenait dans le cadre des orientations visant la consolidation des relations bilatérales de partenariat et d’ouverture économique et ce, à la faveur de la “visite historique” effectuée dans le royaume marocain par le président Zein El-Abidine Ben Ali, visite, a-t-il dit, qui a ouvert une nouvelle page dans les relations tuniso-marocaines.
Pour le responsable tunisien, il est important que les deux frères se concertent sur la mise en place de la zone de libre-échange (ZLE) convenue entre eux et procèdent à un échange de vues sur la coopération avec l’Union européenne (UE) à laquelle la Tunisie et le Maroc sont liés par un accord d’association.
Lors d’un entretien qu’ils ont, MM Tazi et Ben Abdallah ont abordé le volet du renforcement du partenariat entre la Tunisie et le Maroc dans les domaines économique et industriel, ainsi que la mise en place de la ZLE et la coordination des positions des deux pays sur les accords d’association avec l’UE.
Le ministre marocain a exprimé la détermination de son pays à renforcer sa coopération avec la Tunisie, particulièrement entre les secteurs privés pour faire face aux défis de la mondialisation au niveau régional et international. M. Tazi a insisté sur le raffermissement des liens de coopération en ce qui concerne la mise à niveau des entreprises des deux pays et l’encouragement des contacts et des échanges entre les opérateurs économiques privés.
De son côté, le ministre tunisien a relevé que l’environnement international actuel est marqué par une concurrence accrue et une plus grande ouverture des marchés, d’où la nécessité d’un renforcement des relations de coopération bilatérale, particulièrement sur les accords d’association avec l’UE, pour défendre leurs intérêts communs et donner plus de chance de succès à leurs secteurs privés.
M. Ben Abdallah a souligné la ferme volonté de la Tunisie de s’ouvrir davantage sur les pays arabes, dont le Maroc, relevant les nombreux domaines de complémentarité entre les deux pays, notamment dans l’industrie textile. Il a appelé à accorder plus d’importance à d’autres secteurs comme les équipements, la mécanique, l’électronique et l’électricité. 



MAROC

HILLARY CLINTON  INAUGURE UN BLOC
OPÉRATOIRE À LA MATERNITÉ DE L’HÔPITAL DE FÈS
La Première dame des Etats-Unis, Mme Hillary Rodham Clinton, a effectué, dernièrement, une visite de deux jours au Maroc, au cours de laquelle elle a inauguré un nouveau bloc opératoire à la maternité de l’hôpital Ibn Al-Khatib à Fès (200km de Rabat), financé par l’Agence américaine pour le développement international (USAID).

L’épouse du chef de l’Exécutif américain a, également, animé une table ronde sur la société civile avec les organisations non-gouvernementales marocaines.
Mme Clinton a reçu à l’université Al-Akhawayn de la ville d’Ifrane (Moyen Atlas), un diplôme honorifique de “master’s degree”, une première dans l’Histoire du Maroc et prononcé, à cette occasion, une allocution traitant notamment de l’importance de l’éducation multiculturelle dans un monde tendant de plus en plus à la globalisation.
C’est la deuxième visite que la Première dame des Etats-Unis entreprend au Maroc en l’espace de trois mois, après y avoir séjourné pendant près d’une semaine en mars dernier dans le cadre d’une tournée qui l’avait conduite en Egypte et en Tunisie, rappelle-t-on.


LIBYE-ONU

SUSPENSE AU SUJET DE LA LEVÉE DES SANCTIONS
C’est le 4 juillet que le secrétaire général de l’ONU, M. Kofi Annan, soumettra son rapport au Conseil de Sécurité, afin de décider de la levée des sanctions imposées à la Libye. M. Annan a souligné dans un entretien publié par le journal “Al Hayat”, qu’il présentera “un rapport juste et réaliste”, ajoutant que la responsabilité reviendra aux membres du Conseil de décider des suites à donner aux sanctions contre la Libye. Il a, dans ce contexte, rappelé la rencontre qui a eu lieu, il y a deux semaines, au siège des Nations Unies, entre des représentants libyens, américains et britanniques, la qualifiant de “bénéfique” et d’“amicale”.
Le secrétaire général de l’ONU a ajouté qu’une deuxième rencontre devait se dérouler, mais sans en donner, toutefois, la date.
L’accord signé par la Libye et les autres parties concernées, rappelle-t-on, prévoit que Kofi Annan présente un rapport au Conseil de Sécurité, 90 jours après la remise des deux suspects libyens dans l’attentat de Lockerbie. En 1988, un avion de la compagnie Panam avait explosé au-dessus du village écossais de Lockerbie faisant 270 morts.
A la faveur d’une médiation séoudo-sud-africaine, les deux suspects ont été remis à l’ONU en avril dernier pour être jugés en Hollande. L’ouverture du procès est prévue en février prochain, selon les juges chargés de l’affaire. Elle a été ajournée à cette date à la demande des avocats de la défense des deux Libyens afin de pouvoir étudier le dossier.


 
MAROC
LE ROI  HASSAN II PROCHAINEMENT EN FRANCE

Le roi Hassan II du Maroc doit effectuer une visite en France du  12 au 15 juillet prochain durant laquelle il s’entretiendra avec le président Jacques Chirac.
Selon des sources concordantes à Rabat, citées par l’Agence France Presse, le souverain marocain devrait, également, assister à Paris, aux côtés du chef de l’Etat français, au défilé militaire organisé à l’occasion de la fête nationale française du 14 juillet. Un détachement de 400 soldats de la garde royale marocaine participera pour la première fois à ce traditionnel défilé militaire, ajoute l’agence qui note qu’aucun détachement d’une unité étrangère n’ayant jusqu’à présent pris part à ce défilé depuis la libération.
Durant son séjour à Paris, le roi Hassan II doit, en outre, visiter une exposition sur le Maroc organisée dans le cadre de l’année du Maroc en France, indiquent les mêmes sources auxquelles se réfère l’AFP.
Le président français Jacques Chirac et le prince héritier du Maroc, Sidi Mohamed, avaient inauguré le 13 avril dernier l’exposition “Maroc, les trésors du royaume”, présentée au Petit palais à Paris jusqu’au 18 juillet. 


VICTIME D’UN MALAISE

LE PREMIER MINISTRE MAROCAIN DANS UN ÉTAT “TRÈS SATISFAISANT”

Le Premier ministre marocain, M. Abderrahmane Youssoufi, a été admis dans un hôpital de Rabat où il a subi avec succès une intervention neurochirurgicale. M. Youssoufi a été hospitalisé à la suite d’un petit malaise neurologique rapidement régressif, précise l’Agence marocaine de presse (MAP), citant des médecins de l’établissement hospitalier Ibn Sina de Rabat. Les examens cliniques et radiologiques, ainsi qu’une exploration par résonance magnétique nucléaire, ont abouti au diagnostic d’un hématome sous-dural droit ayant nécessité, sous anesthésie locale, une intervention neurochirurgicale qui a permis l’évacuation totale de la collection sanguine, a-t-on expliqué de même source. “L’état de santé du Premier ministre marocain est très satisfaisant et n’inspire aucune inquiétude, mais nécessite un séjour de quelques jours à l’hôpital “, ont indiqué les trois professeurs marocains qui l’ont pris en charge.


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