PAIX AUX HOMMES DE BONNE VOLONTÉ!

par EDOUARD BASSIL
La souveraine Justice appelait un Rédempteur.... et il y a eu l’éblouissante Nativité. “Le Verbe s’est fait chair et a habité parmi nous.”
Depuis deux mille ans, le même spectale se renouvelle, rappelant la naissance du divin Enfant dans une crèche à Bethléem, “parce qu’il n’y avait pas de place pour Marie et Joseph dans l’hôtellerie”. Et pour que s’accomplisse la prédiction des prophètes.
Depuis deux millénaires, l’aventure humaine se perpétue. A la même date et bien qu’on avance en âge, on revient par l’esprit au temps de l’enfance pour se remémorer des souvenirs, revivre des gestes et un cérémonial parmi les plus beaux et les plus touchants.
A tel point que l’audition d’un “Minuit chrétien”  ou d’autres cantiques de circonstance, nous émeuvent encore et nous replongent dans une ambiance douce à nulle autre pareille.
“Paix aux hommes de bonne volonté!”.
Où sont donc ces hommes épris d’une paix qui tarde à venir? Ils se sont abouchés, une fois de plus, et reprendront, incessamment, leurs concilia-bules.
Noël est la fête de l’espé-rance; aussi, voulons-nous ne pas désespérer de certains dialogueurs dont la conduite est faite de duplicité et de faux fuyants.
Nous continuons à croire que la main de Dieu accomplira le grand exploit qu’attendent les partisans de la paix, lesquels restent, quoi qu’on dise, moédérément optimistes.
Nous répéterons donc avec Siméon: “Seigneur, mes yeux ont vu le salut que vous préparez, pour être la lumière qui éclairera les nations.” 

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