YVES SAINT LAURENT REVISITE SES CLASSIQUES...
Jupe longue se terminant par des volants, pour un look tzigane. |
Un petit air de Carmen... |
Le tourbillon des collerettes. |
Saint Laurent a revisité ses classiques. |
Splendeur et somptuosité entre robe et coiffure. |
Le smoking est le cheval de bataille d’Yves Saint Laurent. |
Le voile est, désormais, levé sur la nouvelle organisation
d’Yves Saint Laurent couture puisque, désormais, Tom Ford en sera
le nouveau directeur et assistera pour la première fois au défilé
du grand maître. Ce qui signifie qu’Albert Elbaz est confirmé
dans ses fonctions de directeur artistique pour le prêt-à-porter
féminin. Autour de l’arène, il y avait les aficionados habituels,
les inconditionnelles d’YSL. Des vigiles bloquaient l’entrée et
ce ne furent que des “happy few” qui ont eu droit à ces moments
uniques dus au plus grand couturier parisien. Une atmosphère à
haute tension. Yves Saint Laurent, pour sa collection printemps-été
2000, s’était fortement inspiré de l’Espagne, avec ces jupes
de cigarière à fleurs, ces blouses à volants ou ces
caracos brodés. Le styliste a offert aux élégantes
la plus splendide des estocades... Tout un chacun a admiré les crescendo
de couleurs, le tourbillon des collerettes, les jupes volantées
faisant ressembler les mannequins à des danseuses flamenco. Rien
à voir avec le début de la collection classique, à
l’élégance si parisienne qui font les délices des
“rich and famous”... Saint Laurent a ressorti pour elles de ses archives
les grands succès qui, en quarante ans de carrière, l’ont
consacré.
Du noir et du blanc pour cette robe sans manches. |
Tout volants dehors pour le soir. |
On a pu voir sur le podium la saharienne, le caban, le smoking, le tailleur
pantalon, des chemisiers blancs, des tops sans manches, ni col. Volant
au vent de la mousseline, imprimée façon panthère,
de la dentelle... La belle Laetitia Casta a encore une fois été
choisie par Yves Saint Laurent pour être la mariée. Une magnifique
robe blanche ornée de plumes, sexy comme un costume de scène
de meneuse de revue. Laetitia était à croquer, rappelant
Zizi Jeanmaire dans sa façon de bouger...
