![]() Prête pour le carnaval? |
![]() Franchement impossible à porter. |
![]() Le Lido...? Non, le défilé Galliano. |
![]() Rien ne semble arrêter le couturier. |
Même charivari, même tornade, même séisme sur
les trois thèmes qui ont inspiré Galliano: le jean, l’escrime
et l’équitation.
John Galliano n’en a fait qu’à sa tête.
Il a voulu tout basculer, tout détourner. Les lacets, les coutures,
les bretelles et les boutonnages.
C’est le jean qui a ouvert le défilé. Un jean effiloché
à porter avec des blousons bardés de cuir.
Le jean et tous les bleus en croco, comme en tricot et même transfert
sur soie imprimée poches et surpiqûres comprises.
Un Levis des beaux quartiers, campé sur d’incroyables bottes
à talons aiguilles.
L’escrime racontée par lui est une suite de blanc. On a retenu
les kilts en satin basculés sur la hanche, preuve que Galliano n’a
jamais manié le fleuret!
“No comment”. On évolue dans l’absurde et le
grotesque.
Enfin, l’équitation selon lui se conjugue avec des jodhpurs,
des sacs “selle”, les écuyères devant impérativement
avoir une cravache à la main.
Du grand spectacle...? Peut-être, mais franchement importable.
Insupportable!