DES FEMMES SIRENS
POUR CE DÉFILÉ IL A CHOISI COMME DÉCOR LE PONT LE PLUS FABULEUX DU MONDE
Emmanuel Ungaro a habillé pour la rentrée ses femmes en sirènes, la raison peut-être de présenter sa collection sous l’un des ponts les plus fabuleux du monde: le pont Alexandre III.
 

Du plissé où se nichent des fleurs.

Tenue de femme fatale.

La femme-sirène d’Ungaro.

Rien n’est trop beau pour rendre la femme encore plus sensuelle avec ses créations qui regorgent de perles, de paillettes, de strass et de broderies mordorées inondant de lumière les mousselines comme les dentelles.
Ungaro a habillé la femme d’une robe en satin, nouée sur le côté avec “éventail” en tulle sur le bustier, pour cacher le visage ou en robe blanche entièrement plissée soleil, bandeau sur la poitrine rebrodée, liée dans le dos par un simple petit nœud sur les fesses.
 

Une robe ultra-féminine.
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La mariée de l’hiver ressemble 
à une mariée du printemps.

Satin de soie parme et dentelle 
métallisée pour cette très belle 
robe du soir.

La nouvelle tendance sera donc du plissé très nombreux trouvant son point d’orgue avec des capes en tulle parme ou noir dans lesquelles viennent se nicher des fleurs.
Les huit cents invités n’avaient plus d’yeux que pour ces merveilleuses robes du soir en velours couleur mûre aux accessoires couleurs crème ou pour ce manteau composé de volants de mousseline rose qui transformait la femme en oiseau des îles.
 

Pour une femme sensuelle.

Macramé noir et boucles d’oreilles 
maxi pour un soir à Paris.
 

Ungaro... 
défilé sous le pont Alexandre III.

Une énorme collerette en tulle.

Des plissés à volonté mais, aussi, de la dentelle fine parsemée de papillons.
Une collection élégante, sexy et par-dessus tout, très féminine. 


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