L’ÉGÉRIE DE JEAN-PAUL GAULTIER EST LA PARISIENNE

L’enfant terrible de la haute couture s’est assagi. Il est devenu ce couturier de la haute maîtrise qui connaît très bien toutes les astuces, toutes les recettes de la grande élégance, sans jamais tomber dans le facile.


Gaultier entouré de ses mannequins.

Délaissant son goût pour l’exotisme, Gaultier s’est exclusivement inspiré de la Parisienne, de Kiki de Montparnasse, de Piaf...
Paris qui est la source d’inspiration des plus grands auteurs a, aussi, ravi le cœur de Gaultier, Paris et ses mille lumières, Paris et ces femmes aux yeux soulignés à la Van Dongen, Paris qui ne se couche jamais...
Le styliste, sans donner dans le passéisme outrancier ou la carte postale, a revu la Ville-Lumière en la transposant, en la réinventant à sa manière.
 

Une petite voilette pour le mystère...

L’heureux mariage 
du rose et du noir.

Et le public d’applaudir ces blousons réversibles en jean et zibeline, ces robes en plaid enroulé, ces trenchs plissés, ces tailleurs noirs... Gaultier a créé une nouvelle rigueur, a voulu une femme drapée dans des velours de soie, chapeau à voilette relevée sur le visage, en robe fourreau de satin noir, en veste d’escrime à col écharpe...
 

Van Dongen a inspiré le styliste.

Une femme audacieuse 
en fourreau de soie noire.

Kiki de Montparnasse revue 
par Gaultier.

Entre Paris et Gaultier, une véritable histoire d’amour...
Entre Gaultier et les critiques de la mode aussi qui ont adoré cette collection où le couturier met Paris en scène et en Seine!


Home
Home