Il y a le ciel, le soleil et la mer... Un paysage de carte postale qui sert de cadre rêvé pour les amours de Mariah Carey et du chanteur mexicain, Luis Miguel.

Mariah Carey et Luis Miguel, un bonheur éclatant et sans partage à Marbella.

Mariah qui a 32 ans et touchera la modique somme de 25 millions de dollars par album, un contrat de la société Virgin, a tout pour être heureuse et ne s’en prive pas! En signant avec Virgin, Mariah Carey s’est exclamée: “Je suis enfin libre...!” Carey venait de rompre en effet avec Sony dont le président n’est autre que son ancien époux Tommy Mottola qui avait fait d’elle une star. Leur mariage avait duré quatre ans et, depuis, Mariah Carey vole de succès en succès.

Mariah Carey et Luis Miguel, un bonheur éclatant et sans partage à Marbella.

Aujourd’hui, en femme comblée, elle savoure les plaisirs des vacances en compagnie de son nouvel amour. Les journalistes à l’affût les ont vus en train de dîner dans l’un des meilleurs restaurants du coin, le “Cipriano” ou de se dorer au soleil sur leur yacht, avant de piquer une tête dans la grande bleue... Le couple réside dans une hacienda de luxe située sur une colline: “El Cortino”, une propriété qui appartient à la société de disques avec laquelle Mariah vient de passer un contrat.

Tout porte à croire que le legs de la comtesse italienne est officiellement contesté. Elle a disparu depuis le 8 janvier dernier sans laisser de trace, de sa luxueuse villa, à Portofino, chaussant des mules et en robe d’intérieur, apparemment prise de boisson et désorientée.

La villa, située à 80 m au-dessus de la mer, personne ne peut préciser si elle a été poussée hors du parapet ou si elle est tombée d’elle-même. Le 29 janvier, la police française annonçait qu’elle avait retrouvé le corps à 244 km du lieu du présumé accident et ouvert une enquête pour homicide. Seuls détails dévoilés: le crâne était défoncé et les pieds vraisemblablement dévorés par les poissons. Selon les médecins légistes, les lésions subies par le corps peuvent, très vraisemblablement, être le résultat d’une chute à partir d’une certaine hauteur, mais Domenico, le frère de la comtesse, affirme qu’il s’agit d’un meurtre. Francesca Vacca avait épousé le comte Corrada Agusta, un millionnaire, qui avait amassé une fortune à sa flotille d’hélicoptères. Après onze ans d’un mariage tumultueux, le couple s’était séparé en 1989 et le comte était mort d’un cancer. Maurizio Raggio, propriétaire d’un café-bar à Portofino, devint son amant et son homme d’affaires. Il devait être impliqué dans le scandale de corruption auquel avait été mêlé Bettino Craxi, Premier ministre à l’époque.

Vue panoramique de la villa.

En 1990, avec la fin de la carrière politique de M. Craxi, l’aventure amoureuse de la comtesse devait subir le même sort et sa fortune était quelque peu écornée. Aujourd’hui, les trois personnages les plus proches de la comtesse et vivant sous son toit, à savoir: Tirso Raffael Chazaro, son amant depuis plusieurs années; Susanna Torretta et l’amant de celle-ci se sont engagés dans une véritable bataille concernant le testament. Le dernier et unique bénéficiaire serait M. Chazaro. Malgré les revers subis, on attribue à la comtesse une fortune de quelque 30 millions de dollars. Sans compter la villa, estimée à 15 millions de dollars, des appartements à New York et à Milan, ainsi qu’une impressionnante collection de bijoux. La comtesse, quant à elle, pratiquait un usage abusif de la drogue, des boissons alcooliques et traversait souvent de profondes crises de dépression. Pour les enquêteurs et jusqu’à preuve du contraire, sa mort ressemble fort à un suicide. Toutefois, l’enquête n’a pas dit son dernier mot!

La robe d’intérieur de la comtesse retrouvée dans la mer.

“L’amour n’oublie jamais”, proclame le titre du nouvel ouvrage d’Ari Paffgen considéré comme étant le fils d’Alain Delon.

Ce livre controversé, paru en France à la mi-avril, ressuscite un ancien débat au sujet de la paternité de Paffgen, aujourd’hui âgé de 38 ans: est-il le fils du célèbre acteur français? L’auteur signe l’ouvrage de son seul prénom “Ari”, évitant ainsi d’abord l’emploi du nom de jeune fille de sa mère, “Paffgen”; puis, son nom d’adoption “Boulogne”, le nom de la mère d’Alain Delon et de son second mari. Delon nie être le père d’Ari et a obtenu un jugement à cet effet. Mais certains disent, à juste titre actuellement, que les tests ADN existent et sont en mesure d’apporter les preuves de cette paternité contestée. Malgré les dénégations énergiques de l’acteur: “Vous n’avez pas mes yeux, vous n’avez pas mes cheveux. Vous n’êtes pas mon fils!” - Paffgen lui ressemble étrangement! Toujours est-il que s’il n’est pas sûr que Delon est son père, il sait pertinemment que sa mère est la chanteuse-mannequin Nico et qu’elle lui a donné naissance en 1962, après avoir couché au moins une fois avec la vedette du cinéma. Nico a eu ses moments de célébrité dans les cercles pop, durant les années 1960 et 1970. Le jeune Ari devint, alors, la mascotte du “Velvet Underground” de Warhol, Lou Reed et Bob Dylan. Il a même figuré dans le film “Chelsea Girls”, de Paul Morissey. La vie de Nico lui a fait tourner le monde, de New York à Ibiza. Mais si Delon n’a jamais reconnu qu’Ari était son fils, ce n’est pas le cas de sa grand-mère. Edith Boulogne, la maman de Delon, raconte qu’elle a appris l’existence d’Ari par la presse, “il avait alors deux ans. Et c’est à Paris que j’ai eu l’occasion de le voir, en compagnie de mon mari... Et rien que par ses traits, son expression, sa morphologie, j’ai acquis la certitude qu’Ari est mon petit-fils”. Plusieurs années plus tard, Edith Boulogne et son mari emmèneront Ari chez eux à Bourg-La-Reine où il dormit dans le propre lit d’Alain Delon entouré des photos de celui-ci, collées aux murs de la chambre. “Dans la boutique d’Edith, raconte Ari dans son livre, les gens venaient pour voir la mère d’Alain Delon et son petit-fils qui lui ressemblait tellement. L’affaire Markovic, où l’un des gardes du corps de l’acteur fut assassiné, fut un prétexte pour ma grand-mère de m’enfermer dans un collège catholique, neuf années consécutives. J’avais alors six ans. Un régime de rigueur y sévissait: la douche une fois par semaine, le cirage de nos chaussures, une corvée quotidienne et veston et cravate, la tenue obligatoire.

Ari, Véronique et leur fils Charles.

Le livre d’Ari, en librairie.

La salle d’études nous retenait jusqu’à 10 heures p.m. et on priait huit fois par jour. Le surveillant s’appelait Belo et il était très dur. Une fois, il m’a administré une fessée, en pleine cafétéria devant tout le monde!... “A 16 ans, j’ai quitté l’institution et travaillé dans un restaurant deux étoiles en Bourgogne. Jusqu’au jour et j’ai quitté pour Paris où j’ai eu l’occasion de rencontrer Serge Gainsbourg et de danser avec Isabelle Adjani dans un night-club. Quand elle m’eût demandé qui étaient mes parents, je lui ai répondu: “Je ne suis le fils de personne!” “En automne 1981, Serge me présenta à Antony, le fils d’Alain Delon. J’avais 18 ans et lui 16. Nous avons bavardé de choses et d’autres... de notre grand-mère... Nous avons passé environ dix jours ensemble...” Ari retourne en Amérique avec Paul Morissey; puis, revint à Paris. Mais il avait fait connaissance avec la drogue. “Après une overdose, Morissey me fit subir une cure de désintoxication de trois semaines à l’hôpital...” Après des années de vagabondage, Ari rencontra Véronique qui devint sa compagne, dont il a eu un fils en 1999. Ari le reconnaît sur-le- champ comme tel, “soucieux de ne pas lui réserver un sort identique au mien.” En ce qui concerne Alain Delon, Ari confesse: “Ce n’est pas à moi de prouver que je suis son fils. C’est à lui de prouver que je ne le suis pas! N’est-ce pas?...